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Il y a deux ans, j’ai rencontré un monsieur qui avait mis une petite annonce dans un journal, il cherchait quelqu’un pour faire un tour du monde sur son voilier. Il avait acheté la coque nue en polyester et avait fait l’agencement lui-même. C’est un brave homme, l’air débonnaire, la casquette sur la tête, enfin un rêveur ! Il se prépare depuis longtemps à son voyage, mais le fera-t-il vraiment ? J’en doute un peu… ? Il y a sa femme qui le décourage. Oui, c’est vrai, il, y a toujours des obstacles pour vous décourager. Nous avons fait connaissance au port de Deauville où nous avions rendez-vous. On a levé l’ancre pour le Week-end, faute de vent, nous n’avons pas été plus loin que la rade de Caen. Moi qui n’ai jamais le mal de mer, je dois dire que le plat de rognon a eu du mal à passé… C’est peu être dues au carré trop petit ? Pendant la croisière, nous avons parlé tout le temps de voyage lointain, il fallait voir son visage s’illuminait quand il s’imaginait des mouillages idylliques, il vivait son rêve, il été heureux. Il a bien fallu rentrer. Nous avons discuté de tout cela, mais moi, je n’étais pas prêt à partir au bout du monde avec lui et son bateau, je ne me sentais pas en sécurité. J’ai bien vu qu’il était déçu que je ne parte pas avec lui. Il faut vous dire qu’il ne manquait pas d’arguments pour me convaincre << Laisse ta copine, tu en trouveras bien une aux escales ! >> c’est bien connu, une fille dans chaque port ! Je lui répondis que je ne pouvais pas la laissée seul car je risquais de ne plus la retrouver en rentrant. Je suis parti en me retournant une dernière fois pour voir ce joli voilier qui ma fait rêver lui aussi, le cœur triste. Après ces démarches infructueuses, je me suis dit que comme j’avais un projet, pourquoi ne pas demander à être sponsorisé auprès de personnes auxquelles je pensais et qui pouvaient être intéressées, résultat : réponses retardées, courriers perdus… De quoi vous décourager…
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Le voyage de Trice – L’Île-de-France
CONFLANS-SAINTE-HONORINE
Le Moyen Âge
Site d’un camp fortifié connu dès le VIIIe siècle, c’est la limite extrême à l’ouest du domaine royal. Charles II, le Chauve donne ce village et la seigneurie aux évêques de Paris, à condition que des paysans veillent sans cesse pour annoncer la venue des Vikings qui remonteraient la Seine.
Sous le Second Empire, un banc de calcaire de grande qualité dit localement « le banc royal » dans les carrières de Conflans (dont les pierres sont facilement transportables à Paris par la Seine) est exploité pour la construction du quartier de la Madeleine à Paris. Une de ces carrières a ensuite été transformée en champignonnières pour la production de champignons de Paris.
L’essor de la batellerie commence en 1855 avec l’installation de la tête aval de la chaîne de touage qui permet la remonte des péniches sur la Seine vers Paris, approvisionnant ainsi la capitale en plein développement urbain.
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