Le voyage de Trice : La Provence

LA VIEILLE CHARITE

La Vieille charité, située au cœur du quartier du Panier dans le 2e arrondissement de Marseille, dans le quartier officiel des Grands-Carmes, est un bâtiment édifié au XVIIe siècle, sur les plans de Pierre Puget pour abriter les indigents et les pauvres de la ville.

Construit en pierre rose et blanche, l’ensemble de la Vieille Charité se compose de quatre ailes de bâtiment fermées sur l’extérieur et ouvertes sur une cour rectangulaire par des galeries sur trois niveaux qui rythment la vie à l’intérieur de l’édifice.

© Little Trice

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ABBAYE SAINT-VICTOR

L’abbaye Saint-Victor de Marseille est fondée au Ve siècle par Jean Cassien, à proximité des tombes de martyrs de Marseille, parmi lesquels saint Victor de Marseille qui lui donne son nom. L’abbaye prend une importance considérable au tournant du premier millénaire par son rayonnement dans toute la Provence.
L’un de ses abbés, Guillaume de Grimoard, est élu pape en 1362 sous le nom d’Urbain V. À partir du XVe siècle,

Image illustrative de l’article Jean Cassien

Image illustrative de l’article Victor de Marseille

Image illustrative de l’article Urbain V

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PARC BORELY

La municipalité achète en 1856 le château Borély et une partie de son important domaine de 54 hectares (fondé au XVIIIe siècle par la richissime famille marseillaise Borély. La partie centrale des 54 hectares de l’ancien domaine est alors aménagée lors d’un plan d’urbanisme, en parc et jardin public de 17 hectares par le paysagiste-architecte Adolphe Alphand;

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CHÂTEAU BORELY

Est un château-bastide de style néo-classique du XVIIIe siècle, du quartier de Bonneveine, dans le 8e arrondissement de Marseille et héberge avec son riche décor d’origine le musée des Arts décoratifs, de la Faïence et de la Mode.

Joseph Borély, est issu d’une importante et richissime famille de négociants de commerce maritime marseillais. Sous le règne du roi Louis XIV, il achète le 26 juin 1684 à Alzéar d’Antoine, un domaine-bastide-fermier et viticole du quartier de Bonneveine, sur la route du bord de mer.

Cette même année 1684, son frère François Borély est nommés premier échevin de Marseille, signe de sa réussite familiale dans le grand négoce. Nicolas et Louis Borély (les deux fils de Joseph) résident longtemps à Alexandrie en Égypte où ils tiennent un comptoir d’import marseillais de blé, riz, soie, et d’huile pour la fabrication du savon.

Nicolas Borély (fils aîné) est nommé à son tour 1er échevin de Marseille en 1747, et anobli en 1753 par le roi Louis XV. Il se fait construire un somptueux hôtel particulier près du Vieux-Port de Marseille.

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ÉGLISE SAINT-FERRÉOL

L’église Saint-Ferréol, dit aussi sanctuaire Saint-Ferréol, se situe dans le 1er arrondissement de Marseille. Les travaux commenceront très lentement en 1447. Les Augustins utilisèrent le bois d’une galère hors d’usage cédée par Jean de Villages, neveu de Jacques Cœur, pour réaliser la charpente.

Les travaux sont cependant suffisamment avancés pour accueillir le pape Clément VII venu accompagner sa nièce Catherine de Médicis qui vient épouser le deuxième fils du roi de France qui sera ultérieurement couronné roi de France sous le nom d’Henri II.

La consécration de l’église est effectuée le 15 janvier 1542 par Barthélemy Portalenqui, évêque in partibus de Troie et auxiliaire de l’évêque de Fréjus, Leone Orsini, alors que la nef n’est couverte que d’une simple charpente de bois.

Image illustrative de l’article Clément VII

Illustration.

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HÔTEL DE VILLE DE MARSEILLE

L’hôtel de ville de Marseille, situé dans le 2e arrondissement de Marseille, est un immeuble du XVIIe siècle

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PALAIS LONGCHAMP

Est un palais et château d’eau de style néo-classique-Second Empire du XIXe siècle, du 4e arrondissement de Marseille. Inauguré en 1869, le Palais est composé de plusieurs entités :

Le pavillon-château d’eau central, est un réservoir des eaux de la Durance venues par le canal de Marseille d’une longueur de 85 km, qui est la principale source historique d’eau potable de la ville.

Le musée des Beaux-Arts est situé dans l’aile gauche du palais.
Le muséum d’histoire naturelle situé dans l’aile droite du palais.

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BASILIQUE NOTRE-DAME-DE-LA-GARDE

La basilique souvent surnommée « la Bonne Mère » est une basilique mineure datée du XIXe siècle, emblème de la ville. Elle se situe, sur un piton calcaire de 149 m d’altitude surélevé de 13 m grâce aux murs et soubassements d’un ancien fort.

Construite par l’architecte protestant Henri-Jacques Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au XVe siècle.

Bâtie sur les bases d’un fort du XVIe siècle construit par François Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint. Au sommet d’un clocher carré de 41 mètres, surmonté lui-même d’une tourelle de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l’Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille.

La pierre servant à la construction, surtout celle de coloration verte issue des zones proches de Florence, en Italie.

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METRO DE MARSEILLE

Le réseau comporte deux lignes, essentiellement souterraines, totalisant 22,7 kilomètres. La première ligne a été mise en service le 26 novembre 1977. Après la mise en service d’une seconde ligne en 1984 et cinq extensions concernant les deux lignes, le métro dessert 29 stations, soit 31 points d’arrêts.

La ligne 1 comprend 18 stations sur un tracé de 12,9 km ; la ligne 2 desserts 13 stations, dont 10 souterraines sur un tracé de 9,8 km. Le réseau utilise la technologie de métro sur pneumatique mise au point par la Régie autonome des transports parisiens pour le métro de Paris.

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Le voyage de Trice : Le Gâtinais Français

LE TACOT DES LACS

Est un chemin de fer touristique à voie étroite, la ligne, dont l’écartement des rails est de 600 mm, reprend, sur 2,5 km environ, l’ancien tracé de voies utilisé par la sablière de Bourron.

L’association, au fil des années, s’est attachée à la préservation, la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine ferroviaire de la région en restaurant complètement des locomotives à vapeur, locotracteurs diesel et wagons.

Depuis environ 1850, de nombreuses sablières ont été exploitées dans le sud de la Seine-et-Marne dans un vaste réseau ferroviaire d’environ 20 km. Chacune des sablières possédait un réseau à voie étroite qui servait à acheminer le sable vers les gares.

La Société des sablières de Bourron fut créée en 1911 afin d’exploiter la sablière. Une ligne à voie étroite fut donc construite. De nombreux matériels circulent, don des machines à vapeur et wagons qui sont des pièces uniques.

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Le voyage de Trice : Le Lyonnais

CRÊT DE LA PERDRIX

Épicéas, hautes chaumes, et bruyères se succèdent avant l’arrivée au sommet couronné par un chirat. Du sommet, le panorama s’étend sur les pics du Mézenc, du Lizieux, du Meygal. et du Gerbier de Jonc.

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Le voyage de Trice Le Lyonnais

Armoiries du Lyonnais

LA CROIX DE GUIZAY

La Croix du Guizay domine la ville de Saint-Etienne. À 900 mètres d’altitude, la table d’orientation offre de belles perspectives. En regardant la table en lave émaillée, on découvre Saint-Etienne au premier plan, puis son agglomération. Au loin, à l’Ouest, les Monts du Forez, au Nord les Monts du Lyonnais, plein Est, on pointe la direction de l’Oeillon, emblématique Crêt du Pilaf culminant à 1 371 m d’altitude.

Lee voyage de Trice: le Languedoc

SAINT-GILLES

Située dans la Camargue gardoise, en région languedocienne, la ville, doit son nom au célèbre abbé Gilles l’Ermite dont elle garde le tombeau, fut un des plus importants lieux de pèlerinage de la chrétienté au XIIe siècle. Au XIIIe siècle, c’est le lieu de naissance du pape Clément IV.

Image illustrative de l’article Gilles l'Ermite

ABBATIALE

L’église abbatiale est l’église de l’ancien monastère bénédictin. Le monastère est construit au VIIe siècle, initialement dédié à saint Pierre et à saint Paul, puis au IXe siècle à saint Gilles, un ermite local. Ses reliques, sont conservées dans l’église abbatiale.

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