Réflexion

Citation

Et si réussir, c’était tout d’abord se dire oui,

Dire ‘oui’ à ce qui nous fait vibrer,

Et si réussir, c’était d’abord croire,

Tenir bon quand les autres lâchent,

Et si réussir, c’était d’abord une histoire avec soi,

Être vraiment nous-même envers et contre tous,

Et si réussir, c’était choisir de vivre plutôt que survivre,

Prendre des risques et les assumer pleinement,

Sourire à l’échec, car l’échec est Graine et la réussite Fleur…

Et si réussir, c’était donner, se donner, s’offrir

Danser avec la vie plutôt que la subir

Et si réussir, c’était tout l’inverse de contrôler

Mais plutôt oser, se laisser, aller

Et si réussir, c’était simplement un choix

Et que ce choix, vous pouviez le faire maintenant

Que feriez-vous ?
Lâchez-vous ! Et dites moi ce que vous feriez 

 

Réflexion…

Plaçons les personnes âgées dans les prisons. Elles auront droit à une douche par jour, surveillance vidéo en cas de problème, 3 repas par jour, accès à une bibliothèque, ordinateur, télévision, le câble, Canal+, Canal Sat

Mettons les criminels en maison de retraite. Ils auront des repas froids, lumière éteinte à 20 h, 1 bain la semaine, vivront dans une pièce plus petite et paierons 2.000 € par mois !!!

Le voyage de Trice – Le Bas-Dauphiné

 

 

« A un coude du Rhône, assise comme un autel sur les contreforts du noble Dauphiné » (Mistral)

 

Vienne offre un intérêt exceptionnel. Dans un site, que baigne la lumière rhodanienne, une cathédrale gothique côtoie un temple romain, un cloître roman et des églises vénérables voisinent avec un théâtre antique. Au charme de  » Vienne, la belle » de l’époque romaine, s’ajoute celui de « Vienne la sainte », la cité chrétienne.

Vienne la belle.

Plus de cinquante ans avant la conquête de la gaule par Jules César, le pays des Allobroges et Vienne, sa capital, sont assujettis par les légions romaines. Les monuments publics s’élèvent au pied de la colline de Pipet, les résidences particulières sur la rive droite, à l’emplacement des bourgs de Ste-Colombe et de St-Romain-en-Gal.

Les drapiers, peaussiers et potiers déploient une activité florissante et le poète Martial peut parler de « Vienne la belle »

Vienne, cité sainte

Le lointain empereur n’exerçant qu’une suzeraineté nominale, l’autorité temporelle des archevêques, comtes de Viennois, s’exerce sur la cité  et sur un territoire empiétant sur la rive droite du Rhône.

Autour de l’abbaye St-André-le Bas, parvenue au faîte de sa puissance, une colonie juive entretient la prospérité commerciale. Deux grandes figures de prélats illustrent alors le siège du « primat des primats des Gaules » : Gui de Bourgogne, couronné pape dans sa cathédrale sous le nom de Calixte II, et Jean de Bernin, qui préside aux travaux d’agrandissement de la cathédrale St-Maurice en adoptant les procédés gothiques, fais restaurer le pont romain sur le Rhône, construit un Hôtel-dieu et le château de la Batie.

De nombreux conciles se tiennent dans la ville, en particulier celui qui prononce, en 1311, la suppression de l’ordre des templiers. Mistral, dans son « Poème du Rhône », célèbre cette période faste qu’évoque encore de nos jours la devise de la ville  » Vienne, cité Sainte ».  

Vienne est traversée par la Gère qui prend sa source en forêt de Bonnevaux à 540 m d’altitude  et cours sur une longueur de 34,5 km avant de se jeter dans le Rhône

 La rivière nait dans la forêt de Bonnevaux à 549 m d'altitude. Elle court sur 34,5 km avant de se jeter dans le Rhône

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Le château de la Batie est un ancien château fort du XIIIe siècle. Construis en 1225 par l’archevêque Jean de Bernin, le château de la Bâtie servit de lieu de résidence aux archevêques de Vienne jusqu’au milieu du XIVe 

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