Tout est dit !

Ce prophète de malheur doit bien se réjouir de l’autre côté du voile… ? 
Tout s’est accompli, en effet, il n’y a qu’à voir notre civilisation, à commencé par l’éducation, qui forme de prodige crétin, qui ne savent même plus lire ou écrire.

 Quand je prends les transports, je me rends compte du conditionnement de ces moutons, branché du matin au soir avec leurs écouteurs dans les oreilles à tel point que maintenant quand il y en a qui ne sont pas « branché, j’ai l’impression qu’ils viennent du autre planète.

 Leur conditionnement est elle qu’ils ne peuvent plus se rebiffer contre l’état, ou le terrorisme, ou ils font fort, c’est qu’ils chient tous dans leur froc, voilà l’état lamentable de la France

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Le voyage de Trice : la Bretagne

 

Image illustrative de l'article Armoiries de la Bretagne

Pays - Blason - Cornouaille.png

 

Bannalec

 D’un point de vue historique, elle appartient à la Cornouaille, elle se situe sur les grandes failles du Massif armoricain. Mentionné pour la première fois vers 1030 dans, le cartulaire de Quimperlé, Bannalec est désignée sous le terme Plebs Banadluc. 

Le toponyme associe au Breton balan « genêt » (en vieux breton banadl et en moyen breton banazl) signifie tout simplement « l’endroit où pousse le genêt (genêtière) » Bannalec doit probablement son nom du fait que le genêt à balais y pousse en abondance.

L’histoire de Bannalec est indissociable de celle des seigneurs de Quimerc’h sous l’Ancien Régime. En effet, ces puissants seigneurs disposaient d’un château féodal à Bannalec et de nombreuses terres dans la paroisse et celles du voisinage. 

Par ailleurs, la seigneurie fut érigée en baronnie par le duc Jean V en 1420 en récompense des services rendus par le seigneur de Quimerc’h à son suzerain, notamment pour le soutien militaire qu’il lui a apporté au cours de l’épisode de la trahison de Marguerite de Clisson et de ses deux fils Charles et Olivier. 

Elle disposa de ce fait du droit de haute, moyenne et basse justice avec création d’un gibet à quatre piliers sur le tertre de Roz-Glaz. La seigneurie passa successivement par alliance aux mains des Quimerc’h (XIe-XIVe), des Hautbois (XIVe-XVIe), des Tinténiac (XVIe-XVIIIe) et des Du Breil de Rays (XVIIIe). 

Le plus ancien seigneur de Quimerc’h dont le nom se nommait Rivallon et vivait entre 1066 et 1114. Les armes des seigneurs de Quimerc’h furent de tout temps un champ d’hermines meublé d’un croissant.

 La présence d’hermines sur le blason, laisse à penser que ce Rivallon était un proche parent du duc de Bretagne. Quant au croissant, il appartenait à la famille des comtes de Cornouaille.

 Blasons d’après le Nobiliaire de Pol Potier de Courcy . Bannalec prend part à la révolte des Bonnets rouges en 1675. Malgré l’intervention de René III de Tinténiac en faveur des révoltés, les cloches de l’église paroissiale sont descendues en guise de punition et les révoltés doivent déposer leurs armes sous la conduite du seigneur de Quimerc’h à Port-Louis ou s’était réfugié le duc de Chaulnes. 

En 1831, sur une population de 4 183 habitants, seulement 126 hommes et 44 femmes savent parler le français, le breton étant la langue d’usage, et 72 hommes et 18 femmes savent l’écrire.

En 1847, une famine à Bannalec fait suite à la maladie des pommes de terre en 1844, à la sécheresse au cours de l’été 1845 et aux gelées profondes au cours de l’hiver 1845-1846. Un cas de cannibalisme est rapporté par la presse régionale sur la commune.

En 1863, la ligne de chemin de fer Lorient Quimper qui dessert Bannalec est mise en service.

 

      

 

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