Création

Ces jolies broches fait main sont une création d’une amie. Elles sont faites avec différentes sortes de boutons. Magnifique !

 

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Lyon (suite)

Primatiale Saint-Jean

Commencée au 11e siècle, la cathédrale est un édifice gothique. La cathédrale a abrité, en 1245 et 1274, les deux conciles de Lyon ; Au siècle suivant, elle fût le théâtre de la consécration du pape Jean XXII. 

Blason

En 1600, Henry IV y épousa Marie de Médicis. Plus près de nous, en 1943, s’y sont déroulées les fêtes du 6e Grand Pardon ; ces fêtes se célèbrent environ une fois par siècle lorsque la fête-Dieu coïncide, le 24 juin, avec la Saint Jean-Baptiste, titulaire de l’église.

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Horloge astronomique

L’horloge astronomique remontant au 14e siècle ; donne à 12 h, 13 h, 14 h, et 15 h une curieuse sonnerie dite de l’hymne à saint Jean, avec chant du coq et jeu d’automates représentant l’annonciation.

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La Manécanterie

La Manécanterie, ou maison des chantres est un édifice du 12e siècle. Elle renferme le Trésor ; des pièces d’orfèvrerie religieuse, des ivoires, émaux, et ornement liturgiques.

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Eglise Saint-Nizier

Dédié à Saint-Nizier, l’un des évêques de Lyon, l’édifice est attesté dès le Haut Moyen Âge. Après l’an mille, alors que l’importance politique et économique de la ville s’affirme, celle de Saint-Nizier va croissant, ce qui n’est pas sans créer des tensions avec la principale église lyonnaise, la cathédrale Saint-Jean, et en particulier avec son chapitre canonial.

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Place des Terreaux

Elle tire son nom du comblement, au moyen de terres rapportées ou terreaux, d’un ancien lit du Rhône ; c’est tout près d’ici que se trouvait le confluent, à l’époque romaine. 

En 1642, Cinq Mars y fût décapité, en présence d’une foule de spectatrices venues voir tomber une si jolie tête. La célèbre fontaine monumentale en plomb est due au sculpteur Bartholdi ; ses quatre chevaux frémissants symbolisent les fleuves allant à l’Océan.

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Hôtel de ville

Ce remarquable édifice de style Louis XIII.

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Palais de la Bourse

La Bourse de Lyon a été le principal marché régional de France. La construction démarre en 1856, et est inaugurée en 1860 par Napoléon III et l’Impératrice Eugénie.

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Place Bellecour

La plus vaste de France 310 m sur 200 

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La statue équestre d’Henry IV date de 1828.

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Les Traboules

Les quartiers anciens de Lyon ont conservé leurs traboules, servant de passage sous les immeubles, faute de place pour ménager un large réseau de rues. Elles montrent des couloirs d’ogives ou de plafonds à la Française, relient les cours antérieures à galeries renaissances, les plus belles jalonnent les pentes de la Croix-Rousse. 

Tirant son nom d’une croix de pierre colorée qui se dressait, avant la révolution. Les plus farouches Croix-Roussiens, enracinés sur le « plateau », contemplent de loin l’agitation d’en bas et passent parfois des mois sans y descendre. 

Au 19e siècle, les rues retentissaient du « bistanclaque« , bruit des métiers à bras de ses quelque 30 000 canuts, ouvriers de la soie. La croix rousse était alors, selon Michelet, la « colline qui travaille », face à Fourvière, « la colline qui prie ».

 Les traboules permettaient de transporter les pièces de soie à l’abri des intempéries, furent le théâtre, en 1831, puis en 1834, des sanglantes insurrections de canuts arborant le drapeau noir, symbole de misère, où était inscrit la devise : « Vivre en travaillant ou mourir en combattant ».

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Hôtel-Dieu

L’Hôtel-dieu de Lyon est l’un des plus grands bâtiments de la presqu’île de Lyon. Il est construit en bordure du Rhône, dans le quartier de Bellecour. Premier hôpital lyonnais les premiers bâtiments sont attestés en 1184.

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La Saône, et le quartier Saint Paul 

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Gare de Lyon-Saint-Paul

Elle est située, au pied de la colline de Fourvière, face à la Saône, à l’entrée nord du quartier du Vieux Lyon. Affectée à la desserte de la banlieue ouest de Lyon. Cette gare a été ouverte en 1876, en même temps que la ligne de Lyon-Saint-Paul à Montbrison.

construite par la Compagnie des Dombes et des chemins de Fer du Sud-est. La gare comportait initialement 6 voies à quai, en 3 faisceaux de 2, pour le trafic voyageurs, plus des voies de débord pour une petite activité de messagerie. Il n’en reste aujourd’hui que les 4 voies centrales

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Métro 

 Le réseau comporte quarante stations pour 32 km de voies en site propre.

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Funiculaire

 C’est à Lyon en 1862 que circule le premier chemin de fer urbain à traction funiculaire du monde. La « Ficelle » est le surnom lyonnais donné aux funiculaires à Lyon, dans une ville qui en compta jusqu’à cinq. 

Trois desservants la colline de Fourvière, et deux la colline de la Croix-Rousse, ces funiculaires ayant pour caractéristiques communes d’être en tunnel sur la majeure partie de leur parcours.

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Le voyage de Trice : le Lyonnais

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Image illustrative de l'article Armoiries de Lyon

 

LYON

Il y a des endroits que l’on aime plus que d’autres sans pouvoir l’expliquer, c’est ainsi. Lyon en fait partis, j’adore cette ville, son passé tellement riche, celui des Canuts, et de Guignol, ses traboules, et ses deux cours d’eau ; la Saône et le Rhône. 

Vingt siècles d’histoire, une situation admirable au confluent de la Saône et du Rhône confèrent à Lyon une physionomie unique. La Saône et le Rhône offrent le magnifique spectacle de leur cours contrastés, aux pieds des deux célèbres collines de Fourvière et de la Croix-Rousse, face à la basse plaine Dauphinoise. Venue du Nord, la Saône contourne le petit massif du Mont-d’or et arrive dans Lyon. Le Rhône arrive des Alpes en un large flot.

La Saône

La Saône prend sa source dans le département des Vosges, à 405 m d’altitude. C’est une rivière de 480 km de longueur.

Le Rhône

Il prend sa source au glacier du Rhône, en Suisse, à une altitude de 2 209 m, à l’extrémité orientale du Valais, dans le massif des Alpes uranaises. Long de 812 km. Il est le plus puissant et le plus rapide des grands fleuves français. C’est aussi le plus majestueux.

La capital des Gaules

D’après une légende celte, deux princes, s’arrêtent au confluent et décide d’y construire une ville. Tandis qu’ils creusent les fondations, une nuée de corbeaux s’abat autour d’eux. Reconnaissant là une intervention divine, ils appellent leur cité Lugdunum, la colline des corbeaux. 

Décidé, à conquérir la Gaulle, César établit ici son camp de base ; après sa mort, l’un de ses lieutenants, y installe des colons romains. Agrippa, qui a reçu d’Auguste la mission d’organiser la Gaulle, choisit Lugdunum pour capital. Le réseau des routes impériales s’établit au départ de Lyon : cinq grandes voies rayonnent vers l’Aquitaine, l’Océan, le Rhin, Arles et  l’Italie. L’Empereur Claude y naît.

Le christianisme

Lyon est devenue le rendez-vous d’affaire de tous les pays. Soldats, marchands ou missionnaires arrivant d’Asie mineure se font les propagateurs du nouvel évangile et bientôt grandit dans la ville une petite communauté chrétienne. 

En 177, éclate une émeute populaire qui aboutit aux célèbres martyres de saint Pothin, de sainte Blandine et de leurs compagnons. 20 ans plus tard, 18 000 chrétiens se font massacrer, parmi eux figure saint Irénée, successeur de saint Pothin

Lyon au Moyen Âge

Après le règne de Charlemagne, legs et dots font passer Lyon de mains en mains. Finalement, la ville tombe sous l’autorité temporelle des archevêques. C’est une grande époque de construction. À Lyon et dans tout le Lyonnais s’élève une floraison d’églises et d’abbayes.

Le règne de la Belle Cordière

À la fin du 15e siècle., la création des foires et le développement de la banque attirent les commerçants de l’Europe entière. La vie mondaine, intellectuelle et artistique s’épanouit, stimulée par la venue de François 1er et de sa sœur, la reine Marguerite. 

De célèbres « libraires » : Jean Meumeister, Jean de Tourne, Guillaume Roville, portent au loin le renom de l’imprimerie Lyonnaise, qui compte 100 ateliers en 1515. Peintres, sculpteurs, céramistes, imprégnés de culture italienne, préparent la Renaissance française. 

À Lyon, brille des poètes comme Maurice Scève et Clément Marot, des conteurs comme Rabelais. Mais c’est une Lyonnaise, Louise Labé, qui incarne l’esprit de l’époque, tant par sa grâce et sa beauté que par sa veine poétique.

 À 20 ans, Louise sait le grec, le latin, l’espagnol, l’italien et la musique. Mariée au bonhomme cordier Ennemond Perrin, la « belle Cordière » ouvre un salon aux poètes, aux artistes, aux érudits. Elle compose des odes, des sonnets, des épîtres.

  Pyroscaphe, montgolfière et jacquard

Les lettres et les arts ont triomphé à Lyon au 16e siècle. Les sciences y prennent leur revanche au 18e siècle, avec les frères Jussieu, illustres botanistes, Bourgelat qui fonde en 1762, la première école vétérinaire d’Europe.

 En 1783, Jouffroy expérimente sur la Saône la navigation à vapeur avec son « Pyroscaphe » qui lui rapportera guère que le surnom ironique (et méchant) de « Jouffroy la pompe » ; en 1784, Joseph Montgolfier et Pilâtre de Rosier réussissent, une des premières ascensions en aérostat. Quelques années plus-tard, Ampère le grand physicien, Jacquard avec son métier à tisser, révèle à leur tour un génie inventif.

Lyon n’est plus

1793, le comité de Salut Public rend le célèbre décret « Lyon fit la guerre à la liberté, Lyon n’est plus ». Et, pour punir la ville de la résistance qu’elle a opposée à la Convention, la Terreur y prend un caractère terriblement violent. Couthon prescrit la destruction des maisons de Bellecourt. Chaque jour d’innombrables Lyonnais périssent, victimes de l’exaltation des agents de Robespierre.  

Guignol

Guignol, la sympathique marionnette de bois dont la renommée s’étend à toute la France, sa femme Madelon et son habituel partenaire Gnafron, à la belle voix éraillée par le Beaujolais, incarnent l’esprit populaire Lyonnais.  Laurent Mourguet, le créateur, était un tisserand Lyonnais né en 1769. Les quelques voisins auxquels il présente d’abord sa comédie constituent un public enthousiaste. 

L’industrie de la soie

C’est la soie qui, au 16e siècle, a fait de Lyon une grande ville industrielle. En 1536, le piémontais Etienne Turquet propose d’amener à Lyon des tisseurs génois de soie et de velours et d’y établir une manufacture. 

En 1804, Jacquard, s’inspirant d’une machine de Vaucanson, invente un métier qui permet à un seul ouvrier de faire le travail de six. Le quartier de la Croix Rousse se couvre alors de ses maisons-ateliers caractéristique : leurs étages élevés abritent les métiers sur lesquels les « canuts » tissent la soie fournie par le fabricant.

La foire de Lyon

Au Moyen Âge, Lyon est l’une des « clefs du royaume », à la frontière des pays de Savoie, Dauphiné, Italie, et Allemagne d’un côté, Beaujolais, Bourgogne, Languedoc, Forez et Auvergne de l’autre. Le jour ou le Dauphin, futur Charles VII y établit deux foires franches par an, il fait de Lyon un des plus grand entrepôts du monde. 

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Basilique Notre-Dame-de-Fourvière

Lieux de pèlerinage célèbre, la basilique a été élevée après la guerre de 1870 à la suite d’un vœux de Monseigneur de Genouilhac : l’archevêque de Lyon s’était engagé à construire une église si l’ennemi n’approchait pas de la ville. Des murailles crénelées pourvues de mâchicoulis et flanquée de tours octogonales constituent un mélange curieux d’élément byzantins et moyenâgeux 

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Église catholique, le compte à rebours à commencé, ta fin est annoncée…

Savez-vous où prendra place la plus grande mosquée d’Europe ? Chez nous, en France ! Oui, en ce moment, même une immense mosquée turque est en construction à Strasbourg.

Si les travaux vont jusqu’au bout, elle sera l’une des plus grandes d’Europe ! Ses deux minarets culmineront à 36 mètres de hauteur et l’édifice de 5.500 m2 pourra accueillir jusqu’à 3 000 personnes. 

Cette immense mosquée devrait prendre place au cœur de la capitale alsacienne, à 15 minutes à pied du quartier la « Petite France » ! Tout ce patrimoine, a commencé par la cathédrale, est hérité d’un riche passé chrétien.

Il est évident que l’édification d’une immense mosquée, en plus d’être une provocation, ne manquerait pas de ruiner l’harmonie architecturale, de l’une des plus belles villes de France. 

En fait, il ne s’agit ni plus ni moins que de l’implantation d’une place-forte turco-musulmane en France qui servira de base pour l’islamisation de notre pays.
Vous pensez que j’exagère ? 

Sachez que le gestionnaire du futur lieu de culte – la confédération islamique Millî Görüş – n’est autre que la vitrine de l’AKP, le parti islamiste de l’actuel Président de la Turquie, Erdoğan.

« Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique. Nous conquerrons Rome »,

N’hésitait pas à fanfaronner le fondateur de ce mouvement et ancien Premier ministre turc, Necmettin Erbakan, rapporte l’Observatoire de l’Islamisation. 
Le minaret construit, l’étape suivante est l’installation d’un muezzin, dont l’appel à la prière est répété cinq fois par jour via des haut-parleurs.

Il ne s’agit d’ailleurs pas d’un simple appel à la prière, mais d’une profession de foi, appelée chahada, puisque le muezzin psalmodie : « Allah est le plus grand – je témoigne qu’il n’y a pas d’autre Dieu à part Allah et que Mahomet est son prophète ».

Vous serez d’accord avec moi qu’il faut être bien naïf pour croire que les minarets de la future méga mosquée de Strasbourg qui culmineront à 36 mètres de hauteur, ont pour vocation de demeurer éternellement muets…

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