Aux morts-vivants

 

 

 

 

 

 

 

funérailles pour 19 patients covid, avec des protocoles de santé stricts - Photo de Coronavirus libre de droits

Salut les amis (es) j’espère que vous vous portez à merveille ! vous me connaissez maintenant depuis longtemps comme lanceur d’alerte et blogueur. Je n’ai pas été pris au sérieux par un certain nombre, amis, famille, parce qu’ils ne voulaient pas voir, préfèrent ne pas savoir, à cause de la trouille, ou suivant aveuglément les joueurs de pipo du gouvernement, ce sont leurs choix, et je n’ai plus rien à leur dire à ce sujet.

Pour les autres qui ne se seront pas faits injectées, je leur dis que c’est avec vous que nous rebâtirons un nouveau monde. Nous aurons besoin de courage, car personne n’est préparé à ce qui vient. 

Avant cela, il va y avoir de grands cris, et beaucoup vont être touché quand leurs enfants mourront à cause du venin, les enfants ont 50 % de chance de mourir du poison que du Covid. 

Vous rappelez-vous du Tsunami en Indonésie ? ? Les Indonésiens se sont mis à crier à tue-tête pour que les gens se retirent de la plage… Ils n’ont pas entendu les cris… Tout le monde maintenant sait  que ce poison appelé « vaccin » n’est autre qu’une thérapie génie en phase trois, et vous en êtes les cobayes. 

Pour rappel les délais entre la découverte et l’obligation vaccinale il y a plusieurs années. la découverte du vaccin pour le B.C.G c’était en 1921, l’obligation en 1950, la diphtérie découvert en 1923, l’obligation en 1938 le tétanos découvert en 1926, l’obligation en 1940, la coqueluche découvert en 1926, l’obligation en 2018, la poliomyélite découvert en 1955, l’obligation en 1964 , le  vaccin du covid découvert en 2021, l’obligation en 2021…

Les plus grands gagnants seront ceux qui survivront au vaccin, et à la pauvreté, le désastre des vaccinés à cause de la mortalité va causer l’effondrement. Vous vous posez cette question ; mais qui tire les ficelles ??

Les voici

Les Windsor, les Rockefeller, les Rothschild, le Vatican.

Leur disciples :

W. Buffett, G. Soros, Kissinger, B. Gates, Bloomberg, J. Bezos, M. Zuckerberg. 

Leur agenda :

Contrôle et réduction de la population mondiale, monnaie numérique globale, gouvernement mondial, crash économique.

Financer la réaction :

Masque, distanciation, enfermement, émeutes, acteur de crise, chaos, casseur.

Imposer la solution :

Micropuce dans les vaccins, société sans argent, nouvel ordre mondial. 

Mais étant un peuple qui ne veut pas mourir sans combattre, les choses ne se déroule pas tout à fait comme ils veulent, ils sont juste ralenti par les actions menées par le peuple, et je vous le dis que si nous sommes 5.000.000 à descendre dans la rue la balance tournera en notre faveur, car tout est possible, voilà pour conclure avec cette note d’espoir. Portez-vous bien. 

 

 

Le voyage de Trice : le Bas-Poitou

MUSEE CHARLES MILCENDEAU

Image dans Infobox.

Fils d’aubergistes de Soullans en Vendée, Charles Milcendeau est attiré dès l’enfance par le dessin. Souhaitant que ses enfants fassent des études, son père inscrit Charles à La Roche-sur-Yon puis à l’Institut Livet à Nantes en 1888. 

La pratique du dessin y étant trop tournée vers le domaine Industriel et Technique, Charles convainc son père de l’envoyer à Paris. Il y commence sa formation à l’Académie Julian. 

Charles fréquente assidûment le Louvre et c’est certainement là-bas que sa route croise celle de Gustave Moreau, l’un des maîtres du courant symboliste. Ce dernier accepte d’intégrer Charles dans son atelier de l’École des Beaux-Arts de Paris en 1892. 

Il s’y liera d’amitié avec Georges Rouault, Henri Matisse et Henri Evenepoel. Amateur de voyages, Charles reste néanmoins attaché à son marais de Soullans. En 1905, à la mort de son père et grâce à sa part d’héritage, il achète une propriété à Soullans, au Bois-Durand. 

Il y passe une partie de l’année, mais part régulièrement à la découverte de nouveaux lieux, de nouvelles inspirations : de 1896 à 1910, il passera par la Belgique, l’Italie, la Sardaigne, la Corse, l’Espagne

 Il ramènera de ses voyages quantité de portraits, car l’homme est au départ un portraitiste qui s’intéresse aux « petites gens » d’ici et d’ailleurs. Amoureux de son marais vendéen, il produira de nombreuses toiles le représentant inondé, entrera dans les bourrines à la rencontre de leurs habitants, livrant parfois des scènes intimes comme le Couple au parapluie.


D’une santé fragile, il meurt au Bois-Durand en 1919. Sa chambre, recouverte de fresques florales et animales d’inspiration mudéjare.

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice

© Little Trice