Le voyage de Trice – L’Île-de-France

CONFLANS-SAINTE-HONORINE

Le Moyen Âge

Site d’un camp fortifié connu dès le VIIIe siècle, c’est la limite extrême à l’ouest du domaine royal. Charles II, le Chauve donne ce village et la seigneurie aux évêques de Paris, à condition que des paysans veillent sans cesse pour annoncer la venue des Vikings qui remonteraient la Seine.

Illustration.

Sous le Second Empire, un banc de calcaire de grande qualité dit localement « le banc royal » dans les carrières de Conflans (dont les pierres sont facilement transportables à Paris par la Seine) est exploité pour la construction du quartier de la Madeleine à Paris. Une de ces carrières a ensuite été transformée en champignonnières pour la production de champignons de Paris.

L’essor de la batellerie commence en 1855 avec l’installation de la tête aval de la chaîne de touage qui permet la remonte des péniches sur la Seine vers Paris, approvisionnant ainsi la capitale en plein développement urbain.

© Little Trice

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Le voyage de Trice : Le Lyonnais

Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire

En Pays Roannais se trouve le village de caractère de Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire, il domine la Loire et offre des points de vue exceptionnels. Il invite à travers ses ruelles à découvrir ses richesses culturelles et patrimoniales au chœur de son histoire et ses monuments :

ancien donjon moyenâgeux et murailles du château, maison du cadran solaire, église abritant une peinture de Saint-Jacques le Majeur datant du XIIIe siècle. Le village compte également plusieurs artisans d’art qui aiment partager leur passion.

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Le voyage de Trice : Le Lyonnais

LE GOUFFRE D’ENFER

Il faut oser s’aventurer au Gouffre d’Enfer, situé à quelques minutes de Saint-Etienne, dans le Parc Naturel Régional du Pilat. Car bien que son nom n’encourage pas à l’excursion, la découverte de ces hautes falaises, ces forêts feutrées et les barrages historiques construits au fil du Furan valent le détour !

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Le voyage de Trice Le Lyonnais

 

PLATEAU DE LA DANSE

Le plateau de la Danse est un site naturel ligérien, dont l’altitude au point culminant atteint les 691 mètres. Le barrage dans les gorges de la Loire est à l’origine de ce magnifique lac de Grangent, d’une longueur de 21 km est digne d’un paysage américain, d’une beauté extraordinaire.

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CHÂTEAU D’ESSALOIS

Le château d’Essalois se dresse sur un lieu qui constitue un point stratégique naturellement fortifié et habité par des hommes depuis des temps immémoriaux. La mise au jour d’amphores et de pièces de monnaie au cours des fouilles archéologiques a révélé l’existence d’échanges commerciaux, importants, avec l’Italie, antérieure à l’occupation romaine.

Le château, tel qu’il paraît actuellement, fut construit en grande partie en 1580 par Léonard de Bertrand, Seigneur d’Essalois et maître des eaux et forêts.

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Le voyage de Trice – Le Bas-Poitou

HARAS DE LA VENDÉE

En 1665, Colbert crée les haras royaux pour le compte du roi Louis XIV. La vocation des haras sera longtemps militaire, relançant la production chevaline pour les troupes armées.

En 1806, Napoléon promulgue le décret de Saint-Cloud. Celui-ci établit 6 arrondissements sur le territoire français, 6 haras et 30 dépôts. Une demande de dépôt d’étalons est faite par le Conseil général de la Vendée et la municipalité de La Roche-sur-Yon (Napoléon à cette époque).

1842 est l’année qui donnera à la ville de La Roche-sur-Yon un dépôt d’étalons grâce à une ordonnance du roi Louis-Philippe. Les travaux commenceront en 1843 et s’achèveront en 1846, année d’ouverture du haras.

À cette époque, seule la maison du directeur, la sellerie d’honneur, et les deux écuries sud sont construites. Entre 1876 et 1904, les besoins se font plus importants et cinq nouvelles écuries permettent de stationner jusqu’à 220 étalons au sein du dépôt. . L’architecture du Haras de la Vendée est de style néo-classique.

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