La Torpédo !

En voilà un drôle de nom ! Ben oui, il faut que je transforme les mots, c’est plus fort que moi ! Voilà ma grande amie, Mademoiselle Torpédo ! (En français courant : tortue !) J’ai fait ça connaissance il y a quelques années, environ plus de quatre ans, elle avait 44 ans à cette époque, donc maintenant elle à 48 ans et toutes ses dents !

 Une forme olympique cette bestiole ! Ce-ci est un clin d’œil à mon grand ami Jemmes 1r du Lieuvin ! Don voici ses blasons et armoiries 

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Blason de Bernay

 

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Le voyage de Trice : la Bretagne

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L’Île Percée

 

Face à la plage de Trénez, l’Île Percée, accessible par un gué à marée basse, fait également partie de Moëlan-sur-Mer. Le gué permet de rejoindre à marée basse l’Île Percée. 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands y construisirent deux imposants blockhaus pour installer des batteries de surveillance pour protéger la base de sous-marins de Lorient. 

On peut encore apercevoir aujourd’hui les piles du pont qui reliait alors la plage aux blockhaus.

 

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Le voyage de Trice : la Bretagne

 

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Bannalec

 D’un point de vue historique, elle appartient à la Cornouaille, elle se situe sur les grandes failles du Massif armoricain. Mentionné pour la première fois vers 1030 dans, le cartulaire de Quimperlé, Bannalec est désignée sous le terme Plebs Banadluc. 

Le toponyme associe au Breton balan « genêt » (en vieux breton banadl et en moyen breton banazl) signifie tout simplement « l’endroit où pousse le genêt (genêtière) » Bannalec doit probablement son nom du fait que le genêt à balais y pousse en abondance.

L’histoire de Bannalec est indissociable de celle des seigneurs de Quimerc’h sous l’Ancien Régime. En effet, ces puissants seigneurs disposaient d’un château féodal à Bannalec et de nombreuses terres dans la paroisse et celles du voisinage. 

Par ailleurs, la seigneurie fut érigée en baronnie par le duc Jean V en 1420 en récompense des services rendus par le seigneur de Quimerc’h à son suzerain, notamment pour le soutien militaire qu’il lui a apporté au cours de l’épisode de la trahison de Marguerite de Clisson et de ses deux fils Charles et Olivier. 

Elle disposa de ce fait du droit de haute, moyenne et basse justice avec création d’un gibet à quatre piliers sur le tertre de Roz-Glaz. La seigneurie passa successivement par alliance aux mains des Quimerc’h (XIe-XIVe), des Hautbois (XIVe-XVIe), des Tinténiac (XVIe-XVIIIe) et des Du Breil de Rays (XVIIIe). 

Le plus ancien seigneur de Quimerc’h dont le nom se nommait Rivallon et vivait entre 1066 et 1114. Les armes des seigneurs de Quimerc’h furent de tout temps un champ d’hermines meublé d’un croissant.

 La présence d’hermines sur le blason, laisse à penser que ce Rivallon était un proche parent du duc de Bretagne. Quant au croissant, il appartenait à la famille des comtes de Cornouaille.

 Blasons d’après le Nobiliaire de Pol Potier de Courcy . Bannalec prend part à la révolte des Bonnets rouges en 1675. Malgré l’intervention de René III de Tinténiac en faveur des révoltés, les cloches de l’église paroissiale sont descendues en guise de punition et les révoltés doivent déposer leurs armes sous la conduite du seigneur de Quimerc’h à Port-Louis ou s’était réfugié le duc de Chaulnes. 

En 1831, sur une population de 4 183 habitants, seulement 126 hommes et 44 femmes savent parler le français, le breton étant la langue d’usage, et 72 hommes et 18 femmes savent l’écrire.

En 1847, une famine à Bannalec fait suite à la maladie des pommes de terre en 1844, à la sécheresse au cours de l’été 1845 et aux gelées profondes au cours de l’hiver 1845-1846. Un cas de cannibalisme est rapporté par la presse régionale sur la commune.

En 1863, la ligne de chemin de fer Lorient Quimper qui dessert Bannalec est mise en service.

 

      

 

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Le voyage de Trice : la Bretagne

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Chapelle de Saint-Adrien

 

La chapelle Saint-Adrien fut construite par le seigneur Charles 1er de Quimerc’h, vers 1430. Cette chapelle a plusieurs particularités, de plan rectangulaire, au chevet plat, l’édifice est doté au nord d’une petite chapelle privative, qui était jadis séparée de la nef par une claire-voie en bois.

 Cette chapelle latérale, dédiée à Notre-dame, était primitivement réservée aux membres de la famille des seigneurs de Quimerc’h, à Bannalec. Une partie de cette chapelle avait donc un caractère privatif : les seigneurs dans leur petit bout de chapelle, et le peuple dans l’autre partie du bâtiment. 

Aujourd’hui encore, un petit bout de la chapelle n’est pas propriété du « peuple » 

 

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Le voyage de Trice : le Bas-Poitou

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Jardin du vent

Au pied d’un curieux moulin coiffé de ses voiles, se cache un jardin original. Sculptures animées, jeux de vent, légendes et indications météorologiques jalonnent de surprises ce parcours autour d’une rose des vents et d’un théâtre de verdure.

Au cœur du village de Notre Dame de Monts, sur la dune qui domine l’Océan Atlantique, se dresse une tour des vents coiffée d’une étrange voilure. Focs et trinquettes se relaient pour épier le sens et la force du vent… 

L’espace naturel environnant y est aménagé pour rappeler combien le vent sait faire de belles choses si l’on sait s’intéresser à lui. Sons et mouvements animent en permanence le site

 

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Écomusée du Daviaud

L’écomusée du Marais vendéen est un site conçu pour faire découvrir le patrimoine naturel et historique local. Ce grand musée de plein air au cœur de ses 75 hectares d’espaces naturels.

 Il invite à découvrir l’histoire étonnante de ce territoire gagné sur la mer, offrant alors une vue d’ensemble sur les savoir-faire maraîchins, la faune et la flore locale ou encore l’architecture en marais vendéen.

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