Le voyage de Trice: L’Île-de-France

 

Eglise de Saint-Germain-l’Auxerrois

© Little Trice

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De style Gothique la, construction a débuté au XIIe siècle, et c’est achevé au XVe. Elle appartient à l’Archidiocèse de Paris. Elle fut également appelée église Saint-Germain-le-Rond. Depuis l’Ancien Régime, elle est connue comme la « paroisse des artistes ».
Saint-Germain-l’Auxerrois est nommée en l’honneur de l’évêque saint Germain d’Auxerre. C’est le lieu de sépulture de saint Landry, évêque de Paris.

Le haut Moyen-âge

La première église aurait été construite, à l’époque mérovingienne par le roi Chilpéric Ier. Il souhaitait y voir le futur tombeau de saint Germain, à l’emplacement de la chapelle bâtie en 540 sous l’invocation de saint Germain d’Auxerre, pour le roi Childebert Ier et la reine Ultrogothe. Le roi meurt assassiné laissant l’église inachevée.

 Childebert Ier

Ultrogothe, reine de France

La première église fut détruite lors du siège de Paris par les Vikings, puis fut rebâtie au XIe siècle sous Robert II le Pieux, l’église fut à nouveau reconstruite fin du XIIIᵉ siècle. C’est alors qu’apparaît la première appellation «Saint-Germain-l’Auxerrois».

Roi Robert II le Pieux, capétien. Naissance, mort, couronnement ...

Moyen-âge

Elle devint paroisse des rois de France

Ancien régime

 L’église est associée au tragique épisode de la Saint-Barthélemy. Dans la nuit du 23 au 24 août 1572, son tocsin est réputé avoir sonné l’alarme dans la ville et déclenché le massacre des civils protestants.

Révolution et Restauration

Au début de la Révolution, après le retour forcé de la famille royale de Versailles aux Tuileries, le futur Louis XVII y fait sa première communion. Sous la Terreur, Saint-Germain vidée de son contenu et convertie en magasin de fourrage, en imprimerie, en poste de police, en fabrique de salpêtre. En 1795, le culte philanthropique y est célébré. L’église retrouve sa vocation catholique en 1802.

Description de cette image, également commentée ci-après

Personnes inhumées dans l’église

Peintres et sculpteurs:

Jacques Stella 1657 peintre et collectionneur d’Arts 

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Jacques Sarrazin 1660 sculpteur 

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Jean Varin 1672 sculpteur et graveur de monnaies et médailleur 

Image illustrative de l’article Jean Varin

Jacques Bailly 1679 peintre, miniaturiste et graveur, peintre du Roi

Henriette Selincart 1680 modèle

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Claude Mellan 1688 peintre, dessinateur et graveur

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Israël Sylvestre 1691 dessinateur, graveur

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Noël Coypel 1707 artiste-peintre

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Antoine Coysevox 1720 sculpteur

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Louise-Magdeleine Horthemels 1767 graveuse

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Jean-Baptiste Siméon Chardin 1779 peintre 

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poètes

François de Malherbes 1628 poète 

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Médecins

Jacques du Bois 1551 médecin et anatomiste 

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Guy Patin 1672 médecin et épistolier 

Portrait de Guy Patin

Denis Dodart 1707 médecin et botaniste 

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Hommes d’Etat

François Olivier 1550 Seigneur de Leuville, homme politique. Chancelier de France, et garde des Sceaux.

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Claude Fauchet 1603, magistrat, humaniste et historien 

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Pomponne de Bellièvre 1607 surintendant des finances, chancelier de France

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Armoiries de Pomponne de Bellièvre

Nicolas de Bailleul 1652 magistrat, diplomate, administrateur et ministre. Seigneur de Vattetot, Etiolles et Soisy

Portrait of Louis Dominique de Bailleul by Robert Nanteuil 1658.jpg

 

 

 

                                                               

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le voyage de Trice: l’Île-de-France

 

Île-de-France

Armoiries des Yvelines

LE PAYS HOUDANAIS

Le Pays houdanais, est une petite région naturelle de l’Ouest des Yvelines, c’est une région de plaine relativement vallonnée, elle est adossée aux hauteurs du massif  forestier de Rambouillet

FORÊT DES QUATRE PILIERS

Par une belle journée de printemps, j’ai proposé à mon ami Jean-Pierre le Cheminot retraité des Chemins de Fer d’aller faire un déjeuner sur l’herbe dans ce massif magnifique des Quatre Piliers.

J’ai attendu l’ami Jean-Pierre à la gare d’Orgerus, car voyez-vous, un retraité des Chemins de fer voyage toujours en train, il a ça dans le sang ! D’ailleurs n’ayant pas de voiture, je ne voie pas comment il pourrait faire autrement !

Après quelques quarts d’heures de marche nous sommes arrivé au bord d’un étang totalement sauvage, et peupler d’animaux sympas ! Une couleuvre est passée en nagent, et un monsieur Crapaud Commun faisant sa sieste !

Le déjeuné sur l’herbe fût copieux ! L’ami Jean-Pierre à bon appétit ! Le retour fût fait en voiture jusqu’à chez moi afin d’offrir un café goutte comme le veut la tradition chez le Normand que je suis !

Merci Jean-Pierre pour cette belle ballade !

©. Little Trice

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Le voyage de Trice : le Bas-Poitou

Drapeau du Poitou-Charentes

CHÂTEAU DE LA GUIGNARDIERE

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Le château a été construit vers 1555 pour le panetier du roi Henri II, Jean Girard « Hault et puissant seigneur de Bazoges, Moricq et la Guignardière ». En 1563, Jean Girard est assassiné et le chantier gigantesque est abandonné.

En 1773, le comte Sylvestre du Chaffault date ses armoiries dans le fronton d’une fenêtre du logis. Après l’arrestation de Louis XVI, le comte royaliste doit émigrer. À son retour d’exil, il a perdu ses enfants, les républicains ont pillé le château, bûché ses armoiries…

Au début du XIXe siècle, le marquis de Saint Denys, passionné d’agronomie et d’élevage, transforme le parc à l’anglaise et le plante d’arbres exotiques… magnolias, grandi-flora, cyprès chauves, zelkowas, sequoia… il installe une station des Haras dans les écuries de la basse-cour. 

Son successeur Henri Luce de Trémont projette de terminer le château mais il se contente… d’en déplacer le perron, au centre du logis sur la façade. Malgré son inachèvement, le château de la Guignardière reste l’une des œuvres majeures de la Renaissance en Bas-Poitou.

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Le voyage de Trice : L’Île-de-France

Le Val

Orlyval est un système de transport automatique de navettes sur des pneus de type VAL à petit gabarit. Ouvert en 1991 et entièrement financé sur fonds privés, Orlyval constitue un échec commercial. 

Après la liquidation judiciaire de la société en 1993, la ligne est gérée par RATP et connaît depuis une croissance progressive. La société Orlyval est créée par Matra, Air Inter, Lyonnaise des Eaux-Dumez, la RATP, Indosuez, le Crédit Lyonnais, la Caisse des Dépôts, le Crédit Local, Barclay’s Bank, et quelques autres institutions, et dotée d’un capital de 150 millions de francs. 

Ce capital est détenu à 34,7 % par le groupe de banques, 26,7 % par Air Inter, 18 % par Lyonnaise des Eaux-Dumez, 17,3 % par le fabricant du VAL Matra et 3,3 % par la RATP.

Orlyval est constitué d’une ligne majoritairement à double voie équipée de pistes pour roulement sur des pneumatiques, pour un matériel intégralement automatique et sans conducteur.

La ligne de 7,3 km est équipée de huit rames. 

 

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Des hublots de forme rectangulaire sont entourés d'instruments

Intérieur d'un avion. Des rangées de trois sièges se trouvent autour d'un couloir central.

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Le voyage de Trice : Le Pays des Olonnes

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Le pays d’Olonne

 Des paysages littoraux où plages, rochers, falaises, forêts de chênes verts et pins maritimes, Marais salants, côtoient d’anciennes îles calcaires et de grands champs ouverts parsemés de gros bourgs agricoles…

Entre bocage et océan, les cultures se sont adaptées à ces terroirs parsemés de sables dunaires, de marnes calcaires et de nombreux cours d’eau qui évoquent véritablement une Vendée miniature…

La gare des Sables d’Olonne

La gare des Sables-d’Olonne est une gare ferroviaire située sur la ligne des Sables-d’Olonne à Tours. Elle est mise en service en 1866 par la Compagnie des chemins de fer de la Vendée. Établie à 4 mètres d’altitude

La création d’une ligne de chemin de fer reliant Napoléon-Vendée (la Roche-sur-Yon) aux Sables-d’Olonne fait l’objet d’une enquête publique en 1861, et la ligne est concédée le 28 février 1863 à des hommes d’affaires, le comte de Monthiers, Thomas Savin, de Puyberneau, Pope Hennessy, Benjamin Oliveira, Bonnin, Paul Margetson, James Morrish, E.-P. de Colquhoun, Richard Kyrke-Penson, et le marquis de Ripert de Monclar.

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Henry Lévesque de Puyberneau

Ceux-ci formeront la Compagnie des chemins de fer de la Vendée pour la construire et l’exploiter. Faute de moyens financiers suffisants (la compagnie étant déclarée en faillite en 1877 et rachetée par l’État en 1878), cette première gare, faite de planches, tombera rapidement en ruine et les travaux de construction de la nouvelle gare, correspondant au bâtiment actuel, menés par les chemins de fer de l’État dureront de 1880 et 1883.

 Dans les années 1900, le trajet vers Paris prend alors 9 heures par le rail.