Le voyage de Trice : La Basse-Normandie

 

Blason de Granville

Image illustrative de l'article Cotentin

Le Cotentin est une péninsule. Correspondant globalement aux limites de l’ancien pays normand du même nom autrefois appelé Pagus Constantiensis. Élément du Massif armoricain, il s’étend entre l’estuaire de la Vire et l’embouchure de l’Ay et jusqu’à Granville.

 

LA CÔTE DE LA DÉROUTE

Se situe de La Hague à Avranches

 

GRANVILLE

 

C’est une station balnéaire et climatique de la baie du mont Saint-Michel. Ancien port morutier et le premier port coquillier de France. Elle est parfois surnommée la « Monaco du Nord » de par sa situation sur un promontoire rocheux, la présence d’un casino et de plusieurs grands hôtels de luxe.

Sur un terrain occupé par les Vikings, la ville fondée par un vassal de Guillaume le Conquérant au XI siècle, ancienne cité corsaire et forteresse de défense du Mont-Saint-Michel, devient dès le XIXe siècle une station balnéaire fréquentée par de nombreux artistes, équipée d’un golf et d’un hippodrome. 

Patrie de la famille d’industriels. La ville haute est installée sur une presqu’île bordée de falaises schisteuses, appelée pointe du Roc ou cap Lihou. Fermant au nord la baie du mont Saint-Michel et son estran à la pente très faible, elle bénéficie des plus fortes marées d’Europe, pouvant atteindre quatorze mètres par fort coefficient.

 Au large, l’archipel des îles Chausey est administré par la commune de Granville. C’est un des seuls quartiers insulaires de France. Il se compose de cinquante-deux îles de granite à marée haute et plus de trois cent soixante-cinq à marée basse pour près de cinq mille hectares.

 

ORIGINE DE LA CITE

 

En 1066, Guillaume le Conquérant, dans sa conquête de l’Angleterre, sollicita l’aide de la famille Grant. En gage de reconnaissance, il lui attribua les terres de la Roque de Lihou. Les Grant sont donc les premiers seigneurs de la ville après les Vikings

 

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Quelque part en Île-de-France

Bonjour ! 

Je vous fais découvrir mes petits coins sympas des Yvelines, là ou j’aime m’y promener à pied. Je tiens ces endroits secret… ! Bonne visite

 

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Le voyage de Trice : Le Pays-de-France

 

Abbaye royale de Chaalis

 

L’abbaye royale de Chaalis est une ancienne abbaye cistercienne. Elle est fondée en 1136 par le roi de France Louis VI et confiée aux moines de l’abbaye de Pontigny. Une abbatiale de grande dimension est construite au début du XIIIe siècle et bénéficie de dons considérables et de faveurs. 

L’abbaye devient un centre économique et intellectuel important, accueillant à plusieurs reprises les rois de France et comptant plusieurs intellectuels parmi ses membres. Elle possède par ailleurs un très grand nombre de dépendances sous la forme de granges monastiques qui contribuent à lui assurer des revenus colossaux. 

Après une période de déclin à la fin du Moyen Âge, l’abbaye connaît une période de renaissance artistique avec ses premiers abbés commendataires venus d’Italie. 

Hippolyte d’Este fait ainsi venir des artistes tels que Sebastiano Serlio ou Le Primatice. Au XVIIIe siècle, de nouveaux bâtiments conventuels sont construits par l’architecte Jean Aubert, sans jamais être achevés. 

À la suite de sa vente comme bien national pendant la Révolution et de la destruction de l’abbatiale, le domaine est transformé au XIXe siècle en résidence de chasse. Nélie Jacquemart, grande collectionneuse et dernière propriétaire du domaine, le lègue à l’Institut de France avec les œuvres d’art qui y sont conservées.

 

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Le voyage de Trice : Le Jovinien

 

Joigny

 

Riche d’une très belle Histoire, dont témoigne encore la vieille ville du Moyen Âge. La ville de Joigny est située au centre du département de l’Yonne sur les bords de l’Yonne en Bourgogne.

La ville primitive fut construite sur un promontoire de la côte du plateau d’Othe, dominant la large rivière, qui servait à la fois de protection et de voie de communication. Son pont, sa riche vallée propice aux pâturages et à la culture tant vivrière que céréalière, et sa situation stratégique furent à l’origine de sa richesse, notamment grâce à la culture de la vigne sur les coteaux calcaires.

l’yonne

L’Yonne prend sa source dans une tourbière sur le Mont Préneley à 738 mètres d’altitude, au cœur de la forêt de La Gravelle dans le massif du Morvan. Par sa longueur de 292 kilomètres, l’Yonne est la 16e rivière de France.

Vignoble de La Côte Saint-Jacques

Dès le début du VIe siècle, l’implantation du christianisme avait favorisé l’extension de la vigne par la création d’importants domaines rattachés aux abbayes. La culture de la vigne à Joigny est attestée dès le XI siècle : vignoble du quartier St Thibault mentionné dans des textes de 1082

 

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La révolte gronde…

Citation

Drapeau

 

 

La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique…

 

Il y a, en ce moment, un général qui fait beaucoup parler de lui en Italie. Non pas qu’il ait démissionné puisqu’il est à la retraite après avoir commandé l’armée de l’air dont il est l’un des pilotes les plus décorés, mais parce qu’il s’est déclaré très préoccuper par l’invasion migratoire.

 

Le général de corps d’armée Vincenzo Santo n’a pas hésité à répondre ce que personne n’avait jamais osé imaginer lorsque le journaliste du quotidien LiberoIl Giornale  lui a demandé si l’immigration était un phénomène historique qu’il était impossible d’arrêter.

 

« Il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin. »

 

Ce soldat très étoilé n’est pas n’importe qui. Il fut numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, ancien chef d’état-major de l’ISAF (International Security Assistance Force/Force internationale d’assistance à la sécurité) et, à 71 ans, il est vice-président de l’Institut des affaires internationales, le think tank le plus en vogue en Italie.

 

 Il collabore également à l’un des plus importants sites d’information sur la défense et a des relations militaires dans de nombreux pays.

 

 Il est, en France, chevalier de l’ordre national du Mérite. Il explique comment il voit l’implication de l’armée italienne dans ce combat pacifique mais indispensable qu’il faut mener contre cette véritable invasion des côtes européennes.

 

« Nous avons les outils pour contrôler la côte libyenne sans y poser le pied. Les routes migratoires qui nous concernent convergent vers Tripoli. 

 

La zone à contrôler est beaucoup plus petite que ce que vous pensez. Tout d’abord, nous devons mettre en œuvre le blocage des navires ONG pour les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes. 

 

En même temps, nos forces spéciales captureront les trafiquants et les conduiront en prison. Bien sûr, il n’est pas question d’attendre les autorisations des organismes internationaux ni de respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays. 

 

N’oublions pas que la nôtre est violée chaque fois qu’un navire ou qu’un canot débarque sur nos rivages sa cargaison humaine. »

 

La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique, très rarement avec des femmes, qui envahissent villes et villages avant de se disséminer à travers l’Europe, vivant dans des conditions d’hygiène indignes et dangereuses. 

 

« Comment peut-on avoir confiance dans nos institutions quand un migrant qui a poignardé à Milan un policier est aussitôt relâché ? ».

 

 Et le Général Santo d’expliquer qu’il est facile d’imaginer la frustration de ceux qui sont quotidiennement sur la route pour assurer la sécurité des citoyens.

La création de camps en Libye ne résoudra rien tant qu’y régnera la confusion politique et la présence de djihadistes.

 « En outre, pour des raisons humanitaires, nous ne pouvons confier aux Libyens la gestion de camps éventuels qui devraient être créés et financés en Tunisie et en Égypte, et peut-être en Algérie. »

 

Et ce général hors normes d’évoquer le problème des clandestins dont il croit nécessaire de les arrêter afin de les réexpédier par avion vers leurs pays d’origine, et pour ce faire, « il faut bien entendu augmenter nos forces de police ». 

 

« Il faut confier aux policiers la mission de retrouver ces clandestins afin de les mettre à la disposition des diverses autorités consulaires, dans le but de procéder à leur identification, même s’ils ont fait disparaître leurs documents et prétendent qu’ils ont été volés ou retenus par les trafiquants afin de rendre plus difficile la recherche de leur pays d’origine. 

 

Mais je suis convaincu que si l’on veut remonter à la nationalité du clandestin, on réussit toujours. » 


Qu’il nous serait agréable de rêver que quelques-uns de nos courageux généraux se mettent à s’exprimer comme le général Vincenzo Santo !

Floris de Bonneville

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