Le voyage de Trice : Le Pays de l’Ourcq

Crouy sur Ourcq

Dès le XIIe siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château-fort est construit par Jean III de Sépois. Le Château du Houssoy est du 14e et 15e siècle. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652.

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L’Ourcq

Elle prend sa source au-dessus de Fère-en-Tardenois dans le département de l’Aisne.  Cette petite rivière suit une large vallée. Son court est de 87 km

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Gare de Crouy-sur-Ourcq

Elle est mise en service en 1894 par la Compagnie des chemins de fer de l’Est. Établie à 59 mètres d’altitude

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Le voyage de Trice : l’Île-de-France

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Chemin de Fer des Chanteraines

Pour desservir les différentes parties du parc, une ligne de chemin de fer à voie de 0,60 m a été retenue et réalisée en 1981. Cela représente aujourd’hui un total d’environ 5,5 km dont 1 km de voies d’évitement et de garage. 

Le Parc des Chanteraines étant situé principalement dans une boucle de la Seine en forme de « banane », la ligne du chemin de fer suit ce même schéma.  Elle comporte deux voies dont une à quai. 

L’ancien bâtiment de la gare dite «des charbons» à l’époque ou les trains de charbon arrivaient le long de la Seine sur l’estacade pour décharger les péniches. À son extrémité une plaque tournante permet éventuellement de réorienter une locomotive et dessert également une courte voie en épi. Cette gare a été entièrement refaite.

Le parcours est assez champêtre, traité « à l’Anglaise » avec des petits plans d’eau où se développent une faune et une flore caractéristiques. De nombreuses trouées dans la végétation offrent de jolis points de vue sur la Seine et le Parc de l’Île Saint-Denis.

Merci à mon ami Jean-Pierre pour cette belle découverte

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Vidéos :

Parc des Chanteraines

  Parc des Chanteraines

 

Le voyage de Trice: Le Pays Drouais

 

La gare de Dreux

Établie à 105 mètres d’altitude. La gare a été transformée en 1932 par l’architecte Paul Louis Genuys. C’est une construction imposante en briques, pierres et ardoise dont la silhouette rappelle celle d’un manoir.

.Elle est mise en service  en 1864, par la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest. Desservie par des trains Intercités, Transilien et TER Haute-Normandie. Au plus fort de son existence, la gare de Dreux a été au centre d’une étoile ferroviaire à cinq branches, permettant de se rendre à Paris-Montparnasse, Granville, Chartres, Tours et Évreux.

 Le 1er janvier 1860, les travaux de la ligne coûtant 58 millions de francs sont lancés en plusieurs points. La ligne atteint Dreux en juin 1864. La gare est ouverte le 15 juin 1864. 

 

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Le voyage de Trice : la Bretagne

Image illustrative de l'article Armoiries de la Bretagne

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L’Île Percée

 

Face à la plage de Trénez, l’Île Percée, accessible par un gué à marée basse, fait également partie de Moëlan-sur-Mer. Le gué permet de rejoindre à marée basse l’Île Percée. 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands y construisirent deux imposants blockhaus pour installer des batteries de surveillance pour protéger la base de sous-marins de Lorient. 

On peut encore apercevoir aujourd’hui les piles du pont qui reliait alors la plage aux blockhaus.

 

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Le voyage de Trice : la Bretagne

 

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Bannalec

 D’un point de vue historique, elle appartient à la Cornouaille, elle se situe sur les grandes failles du Massif armoricain. Mentionné pour la première fois vers 1030 dans, le cartulaire de Quimperlé, Bannalec est désignée sous le terme Plebs Banadluc. 

Le toponyme associe au Breton balan « genêt » (en vieux breton banadl et en moyen breton banazl) signifie tout simplement « l’endroit où pousse le genêt (genêtière) » Bannalec doit probablement son nom du fait que le genêt à balais y pousse en abondance.

L’histoire de Bannalec est indissociable de celle des seigneurs de Quimerc’h sous l’Ancien Régime. En effet, ces puissants seigneurs disposaient d’un château féodal à Bannalec et de nombreuses terres dans la paroisse et celles du voisinage. 

Par ailleurs, la seigneurie fut érigée en baronnie par le duc Jean V en 1420 en récompense des services rendus par le seigneur de Quimerc’h à son suzerain, notamment pour le soutien militaire qu’il lui a apporté au cours de l’épisode de la trahison de Marguerite de Clisson et de ses deux fils Charles et Olivier. 

Elle disposa de ce fait du droit de haute, moyenne et basse justice avec création d’un gibet à quatre piliers sur le tertre de Roz-Glaz. La seigneurie passa successivement par alliance aux mains des Quimerc’h (XIe-XIVe), des Hautbois (XIVe-XVIe), des Tinténiac (XVIe-XVIIIe) et des Du Breil de Rays (XVIIIe). 

Le plus ancien seigneur de Quimerc’h dont le nom se nommait Rivallon et vivait entre 1066 et 1114. Les armes des seigneurs de Quimerc’h furent de tout temps un champ d’hermines meublé d’un croissant.

 La présence d’hermines sur le blason, laisse à penser que ce Rivallon était un proche parent du duc de Bretagne. Quant au croissant, il appartenait à la famille des comtes de Cornouaille.

 Blasons d’après le Nobiliaire de Pol Potier de Courcy . Bannalec prend part à la révolte des Bonnets rouges en 1675. Malgré l’intervention de René III de Tinténiac en faveur des révoltés, les cloches de l’église paroissiale sont descendues en guise de punition et les révoltés doivent déposer leurs armes sous la conduite du seigneur de Quimerc’h à Port-Louis ou s’était réfugié le duc de Chaulnes. 

En 1831, sur une population de 4 183 habitants, seulement 126 hommes et 44 femmes savent parler le français, le breton étant la langue d’usage, et 72 hommes et 18 femmes savent l’écrire.

En 1847, une famine à Bannalec fait suite à la maladie des pommes de terre en 1844, à la sécheresse au cours de l’été 1845 et aux gelées profondes au cours de l’hiver 1845-1846. Un cas de cannibalisme est rapporté par la presse régionale sur la commune.

En 1863, la ligne de chemin de fer Lorient Quimper qui dessert Bannalec est mise en service.

 

      

 

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